Les Goyescas, suite pour piano du compositeur Enrique Granados. Interprétation de Fernando Pérez. C’est la musique espagnole du compositeur Enrique Granados qui m’a inspiré le personnage du pianiste, Beltran Aguilar, ainsi que certaines scènes du roman.
C’est la musique espagnole du compositeur Enrique Granados qui m’a inspiré le personnage du pianiste, Beltran Aguilar, ainsi que certaines scènes du roman. Dès le premier chapitre, le lecteur est plongé dans la musique des Goyescas, suite pour piano écrite par Granados en 1911, en assistant à l’interprétation troublante de La jeune fille et le rossignol par le jeune adolescent, Beltran. Pièce très connue, à la fois lyrique et romantique, cette pièce est la complainte d’une jeune fille qui chante à son rossignol, l’oiseau lui répondant dans un style rhapsodique.
J’ai choisi le répertoire espagnol parce qu’il est souvent associé au concept du duende, état d’inspiration spontané qui rappelle la transe et dont sont soudainement possédés interprètes musiciens, chanteurs ou danseurs. Le duende est un des importants fils conducteurs du roman.
(Les Goyescas, suite pour piano du compositeur Enrique Granados. Interprétation de Fernando Pérez.)